Cartes de famines nombreuses : quand la fin (faire du fric) justifie la faim !
La production d’agrocarburants et du biodiesel en particulier est devenue une priorité nationale pour certains pays comme par exemple pour le Brésil.
Cette production est aussi et surtout une priorité pour tous les spéculateurs, en forme olympique, qui de façon éhontée contribuent à maintenir la flambée des denrées alimentaires.
La « flamme » spéculative provoque (dans tous « les sens » du terme) des émeutes de la faim.
Le Brésil avec ses défrichements catastrophiques pour la forêt amazonienne ne constitue qu’une des plus néfastes conséquences des égoismes nationaux suscités par l’actuelle politique économique mondiale uniquement soucieuse de l’intérêt des nantis.
Aujourd’hui, est venue l’heure pour toutes les parties prenantes
de prendre enfin leurs responsabilités et de rectifier cette mortelle dynamique ou les peuples affamés s’en chargeront !